Petit essai sur le suicide.
La vague de suicides qui défraie fin 2009 l’actualité avec notamment les nombreux suicides des employés de France Télécom, ne me laisse pas indifférent d’autant plus que je fus personnellement concerné dans ma vie professionnelle par ce sujet. Je fus en effet condamné jadis à être interdit d’exercer trois années, juste pour avoir informé le psychiatre officiellement responsable du problème des suicides dans ma région, que certains de mes patients aux tendances suicidaires m’avaient témoigné ne plus avoir pensé au suicide après avoir fait enlever leurs dents dévitalisées. Un mémoire fort instructif fut alors réalisé par Corinne Lepage qui parlait « d’une grave question de santé publique » concernant les dents dévitalisées.
On s’imagine parfois à tort que la clef du suicide réside exclusivement dans le mental et le stress que peut ressentir l’individu et on demande alors l’aide de psychothérapeutes principalement. Mais peut-être que ce n’est pas toujours suffisant.
Si on sait qu’il existe des maladies psychosomatiques, c’est à dire des maladies somatiques aux causes psychologiques, on oublie souvent qu’il existe aussi des maladies somatopsychiques c’est à dire des affections du psychisme, qui ont pour cause une affection somatique.
Évidemment, on sait bien qu’à force de souffrir de quoique ce soit, on finira par déprimer et peut-être donc par se suicider surtout si la douleur ne cesse pas. Mais ici quand je parle de maladies somatopsychiques, je veux aussi parler d’affections plus subtiles à déterminer qui n’occasionnent aucune douleur physique et ne causent pas encore de troubles organiques visibles et qui pourtant affectent sournoisement l’état psychologique.
J’ai personnellement constaté que certaines personnes très dépressives voire suicidaires et pourtant sans aucun problème de santé en apparence ni aucune douleur physique, sortaient parfois quasi immédiatement de cette tendance suicidaire en faisant enlever leurs dents dévitalisées., notamment les dents du haut qui sont plus proches du cerveau que les dents du bas.
La dent dévitalisée est je le rappelle une dent morte car elle ne possède plus de vaisseaux sanguins ni de nerf qui circulent à l’intérieur de la dent. C’est un cadavre de dent par conséquent ou une dent empaillée si vous préférez, si l’image est plus parlante pour vous. En effet, on enlève l’intérieur de la dent, donc ce qui pourrit le plus et on y met des produits imputrescibles. On ne garde en fait que l’extérieur tout comme on le fait pour les animaux empaillés. Le point commun entre le suicide et la dent dévitalisée est à l’évidence le concept de mort. Un point commun qui pourrait bien être aussi un lien d’engendrement.
Nous allons en effet comprendre que la mort engendre la mort, en commençant par constater que la vie engendre la vie
Les formes de vie dans la nature sont toujours engendrées par la vie elle même par les différentes formes de reproduction. Rien ne provient du néant et c’est ce qui fait comprendre que la vie engendre la vie. De la même façon, nous pouvons comprendre que la mort engendre la mort. Plus généralement d’ailleurs bien d’autres concepts s’engendrent mutuellement. L’amour engendre l’amour et la violence engendre la violence, par exemple, c’est bien connu. Mais le fait que la mort engendre la mort est moins connu car plus subtil à comprendre.
La vie, la violence, la haine, et en fin de compte la mort sont tous des concepts reliés à un état vibratoire spécifique. La mort me semblant être en fait l’état l’état vibratoire le plus immobile de tous les états précédents dans la mesure où s’est arrêté le mouvement du sang qui apportait aux cellules vivantes son oxygène chargé d’électrons. Les électrons étant dans l’atome la particule la plus en mouvement d’ailleurs.
Dans l’univers tout est vibration à divers degré. Cette vibration va influencer les structures environnantes d’autant plus qu’elle rentre en résonance avec ces dernières, c’est à dire que ces dernières sont déjà prédisposées à vibrer naturellement dans la même fréquence.
Illustrons cette notion. On sera plus apte à s’énerver face à une situation contrariante ou quelqu’un de colérique, quand on est déjà soi même imprégné de vibrations de colère. Sachant aussi que quelqu’un de colérique, d’agressif, peut aussi nous contaminer de sa colère si nous ne sommes pas assez fort dans nos convictions pacifiques. Mais il y a bien d’autres sources vibratoires qui peuvent nous transmettre leurs vibrations. Les images cinématographiques aussi transmettent des vibrations émotionnelles et nous influencent c’est bien connu. Les films tristes nous font pleurer, les films de violence nous imprègne de violence et les films d’horreurs nous imprègnent de peurs par exemple. Et le rire engendre le rire, certains en faisant même une thérapie qu’ils nomment la rigolo-thérapie. De même on peut comprendre par un mécanisme analogue, qu’un individu qui dégage de l’amour va imprégner d’amour ceux qui l’approchent.
Si cela est vrai pour l’amour, la colère , le rire, la peur et le mal être, il n’y a pas de raison à priori que cela ne soit pas aussi vrai pour la mort.
En médecine on sait très bien que lorsqu’un pied se gangrène c’est à dire qu’il meurt, cela peut tuer le patient, par la septicémie qui va arriver inéluctablement . Il faut alors couper le pied pour sauver une vie. On sépare donc la mort (le pied mort) du vivant car sinon la mort du pied engendrera la mort du patient.
Mais en dentisterie il semble qu’on n’ait pas encore compris cela pour la dent morte ou dévitalisée….
Des études biochimiques ont montré que la dent dévitalisée libérait dans le sang des substances toxiques comme des thioéthers ( le gaz moutarde, arme militaire, en contient), de la putrescine et de la cadavérine aux noms plus qu’évocateurs car on les trouve aussi dans les cadavres en état de putréfaction. Mais bizarrement la dent dévitalisée peut rester malgré tout cela indolore grâce à l’intervention du dentiste qui a enlevé la majorité des tissus putrescibles et mis à la place une pâte antiseptique, un peu comme le font les thanatopracteurs qui embaument les morts. On pourrait d’ailleurs logiquement appeler les dentistes qui font cela des thanatodentistes, tandis que ceux qui ne veulent garder que des dents vivantes dans la bouche de leurs patients, des biodentistes, puisque bio signifie vie.
De même ceux qui mangent avec des dents dévitalisées pourraient être appelés des nécro-mangeurs et cela même s’ils se nourrissent dans des magasins d’alimentation biologiques.
Il existe des exemples dans le domaine de la médecine qui pourraient illustrer le concept vibratoire .
On possède des exemples dans les médecines naturelles, qu’on pourrait même qualifier de médecine quantique, où seule la prise en considération du caractère vibratoire pourrait expliquer le mécanisme d’action de certains médicaments. Il s’agit des élixirs floraux, et de l’homéopathie par exemple. Des médecines qui utilisent des médicaments contenant des principes actifs très dilués voire extrêmement dilués dans certains cas de dilutions homéopathiques et qui pourtant agissent. On peut donc comprendre qu’une dent dévitalisée qui diffusent dans le sang, même de petites quantités de cadavérines peut ne pas être dénuée de conséquences cadavériques.
En naturopathie, on définit le concept d’aliments vivants et d’aliments morts. Les derniers étant plutôt issus des boites de conserve par exemple. Chimiquement il y a à peu près la même chose que dans les aliments frais mais pourtant ild transmettent moins de vitalité aux organismes. Les aliments vivants sont plutôt les aliments frais, issus de l’agriculture biologique par exemple. Biologique signifie la science du vivant pour information. Un autre exemple est celui du lait. Il y a le lait cru, le lait frais et le lait stérilisé UHT. Ces trois laits n’ont pas la même valeur nutritionnelle même si chimiquement il n’y a pas de grande différence. Le lait cru contient, on le sait, certains microorganismes qui en général peuvent être bienfaisants comme des levures et des bonnes bactéries que l’on ne retrouvera jamais dans le lait UHT et qu’en petites quantités dans le lait frais ou pasteurisé. Des microorganismes que l’on retrouvera et qui seront bienfaisant notamment dans les fromages au lait cru, qui ne possèdent pas de moisissures (pour approfondir, voir texte: « plaidoyer pour les laitages »).
Dans le cas du lait ou des boites de conserves on voit ici que l’utilisation d’une température trop élevée et incompatible avec la vie, nuit d’une certaine façon au caractère vitalisant de la nourriture. La nourriture a été plus ou moins tuée en quelque sorte et s’en nourrir n’apportera pas autant de vitalité, les naturopathes s’en sont rendus compte. Inversement se nourrir de germes de céréales qui sont en plein développement vital est reconnu comme apportant une vitalité certaine.
Maintenant j’imagine que vous pouvez un peu mieux comprendre pourquoi garder en soi une une dent morte ou dévitalisée, va nous imprégner de vibrations de mort et donc peut logiquement être suspecté d’induire des pensées de mort donc de suicide.
Cela n’est pas juste théorique car enlever des dents dévitalisées a permis à des suicidaires de retrouver le goût de la vie et certains patients l’ont d’ailleurs témoigné sur les vidéo du site www.sante-dents.com.
Mais heureusement, tous ceux qui ont en bouche des dents dévitalisées n’ont pas envie de se suicider car les cadavérines et les putrescines ne sont pas toujours suffisantes pour donner envie de mourir. Certains supportent aussi mieux les poisons que d’autres c’est certain. Mais ce qui me semble certain aussi, est que même si les dents dévitalisées ne suffisent pas toujours pour conduire au suicide, elles nous rapprochent toujours plus vite de la mort que si elles ne sont pas présentes dans notre bouche. On observera alors des vieillissements prématurés inévitablement. Preuve en est que les patients qui enlevaient leurs dents dévitalisées présentaient toujours des caractéristiques plus ou moins nettes de rajeunissement. Et cela, même s’ils avaient ensuite un dentier, ce qui paradoxalement pourrait donner l’image exactement de l’inverse.
Mais ce n’est pas le seul inconvénient des dents dévitalisées car vieillir ou mourir, cela n’est rien pourrait-on dire, mais être malade, c’est encore plus terrible. La vieillesse n’est qu’un processus somme toute harmonieux, enfin qui devrait normalement l’être, où la maladie devrait être donc absente car il s’agit juste d’ une baisse progressive de toutes les capacités physiques. Or les dents dévitalisées ont aussi une implication déterminante dans toute la pathologie générale à un point que notre société est loin d’imaginer et qui fait dire à ceux qui se sont véritablement penchés sur le sujet qu’extraire les dents dévitalisées est bien souvent plus efficace que tous les traitements qui existent aujourd’hui dans notre médecine moderne et même les médecines douces. Je sais que cette affirmation peut paraître incroyable et mégalomane mais elle résulte pourtant du témoignage de médecins très connus pour guérir ce que personne n’arrivait à guérir. Des témoignages qui pourraient aussi être recueillis par des journalistes qui voudraient bien faire l’effort de se pencher sérieusement sur le sujet.
Le grand problème est que ce fait extraordinaire, il n’y a pas d’autre mot, n’intéresse quasiment personne d’un point de vue économique dans le monde pharmaco-médico-dentaire. Les patients eux mêmes, une fois convaincus par maints efforts puis guéris sont rares à passer l’information. Les raisons de tout cela sont plus développées dans d’autres textes de ce site comme « la source du mal ». Ce fait extraordinaire qui est connu en France depuis une cinquantaine d’années en est donc encore aujourd’hui à un stade de développement quasi embryonnaire.
Pour en revenir au suicide, bien sûr, les causes du suicide ne se résument uniquement aux dents dévitalisées, loin de moi cette idée saugrenue. Il existe toute une liste de pollutions de l’organisme qui sont aussi susceptibles d’affecter la santé, baisser les vibrations vitales, donc de faire déprimer et donc d’inciter à se suicider. Ce n’est toutefois pas à moi de vous parler ici de ces pollutions en général plus connues et que j’estime d’ailleurs en général aussi, moins graves que la pollution occasionnée par la dent dévitalisée. Et oui c’est un paradoxe et tant qu’il persistera je persisterai à essayer de vous informer sur ce sujet dont je suis particulièrement conscient. L’extrême importance de ce sujet est d’ailleurs une opinion partagée par des médecins connus pour guérir ce que personne d’autre ne sait guérir comme le Dr J.G. Thomas aujourd’hui à la retraite ou les médecins de la clinique Paracelsus en Suisse. Une opinion qui repose donc sur des faits avérés. Il y aurait bien sûr aussi beaucoup à écrire encore sur les caractéristiques psychologiques qui incitent au suicide. Je suis certains que de grands philosophes et psychologues ont écrit sur le sujet. Des psychologues qui parlent de pensée positive par exemple ou des philosophes qui pensent notamment que la croyance darwinienne est d’une certaine façon suicidogène. Une croyance qui pense en effet que la vie est apparue du néant et n’aurait pas de sens plus élevé que celui de faire survivre son code génétique peut en effet sembler somme toute peu enthousiasmante voire parfois carrément déprimante. Si la vie revêt alors parfois un caractère un tant soi peu difficile à supporter, qu’il est facile alors de tomber soit dans des paradis artificiels, les drogues, qui à terme détruisent la vie, soit lorsque le mal-être atteint certains niveaux, de se supprimer la vie carrément.
Dans les causes du suicide, il y a bien sûr le poids du stress. La vie cool est bien sûr moins difficile à supporter que la vie stressante. Mais vouloir expliquer le suicide uniquement en considérant le stress serait extrêmement réducteur. Le stress devrait plutôt être vu comme la goutte d’eau qui fait déborder le vase même s’il est vrai aussi que tout doit être fait pour diminuer le stress au travail notamment. Il serait de même très réducteur de penser que la seule thérapie à effectuer pour prévenir les suicides seraient les psychothérapies. Et pourtant chercher à diminuer le stress ainsi que la psychothérapie me semblent souvent les seules options envisagées pour lutter contre les tendances suicidaires. C’est là une grave erreur.
Étant donné d’autre part qu’il s’agit de suicides à France Télécom, c’est à dire dans une entreprise de télécommunication, je rappelle que de telles entreprises ont développé ces dernières années un service qui inonde notre espace d’ondes électromagnétiques, avec les antennes relais et les téléphones mobiles. Des ondes qui possèdent un caractère toxique sans l’ombre d’un doute. On a déterminé des corrélations significatives entre la proximité d’antennes relais des habitations et des mal êtres voire des cancers apparus dans ces mêmes habitations. Il s’agit de cancers du cerveau plus précisément, sachant que le cerveau est le siège de l’esprit. Peut-être y a-t-il quelque chose à creuser dans cette voie aussi car les ondes associées à la téléphonie mobile sont très probablement la plus nouvelle pollution de l’environnement apparue ces dernières années. Ce n’est donc probablement pas un hasard si ces suicides touchent la plus grande entreprise française de télécommunication. Un premier indice à ceux qui rechercheraient dans ce sens est que selon l’Ayurvéda, la médecine traditionnelle indienne, l’esprit est caractérisé par l’élément Éther, l’élément le moins matériel et le plus énergétique, qu’on peut aussi appeler l’espace *. C’est justement aussi l’espace donc l’éther qui est pollué par les ondes électromagnétique. Il est donc à craindre que la premier fonction affectée par les ondes électromagnétique soit la fonction mentale. Intéressant non !
Mais il serait aussi temps qu’on fasse la corrélation entre les tendances suicidaires et les dents dévitalisées.
Pour finir je vous renverrai finalement au témoignage vidéo surprenant de l’assistante du Dr Thomas.
Une dame qui témoigne avoir vu son employeur médecin guérir des centaines de dépressions sans jamais faire de psychothérapie mais juste par des médecines douces, de l’acupuncture notamment et surtout en faisant enlever les dents dévitalisées de ses patients. La dépression est la psychopathologie qui prépare généralement au suicide je le rappelle. Des centaines de dépressions guéries sans psychothérapie, étonnant non! Loin de moi d’idée de vouloir dévaloriser le travail psychothérapeutique et son intérêt pour prévenir le suicide, ou bien de vouloir dévaloriser l’importance du stress mais force est de constater que dans de multiples cas, l’élimination des dents dévitalisées semble aussi très efficace pour prévenir le suicide.
Ce qui pourrait à priori paraître décalé du sujet, en parlant de dents alors qu’il s’agit du suicide, est en fait par conséquent tout à fait dans le sujet et il serait important que notre société en tienne compte dorénavant.
Fin.
Les cinq éléments de l’Ayurvéda sont dans l’ordre du plus matériel ou plus énergétique: la Terre qui est en relation avec les structures solides du corps, l’Eau qui est en relation avec les structures liquides, le Feu, qui est en relation avec la chaleur corporelle, l’Air qui est en relation avec les mouvements et l’Éther qui est en relation avec l’esprit.
Bruno Darmon, Dr en chirurgie dentaire.
L’essai à proprement parlé est fini mais je vais vous raconter une anecdote en rapport avec le sujet, somme toute assez rigolote car il n’y a pas eu grand chose de très rigolo jusqu’à présent dans le texte ci dessus. Parmi les quelques condamnations du Conseil de l’ordre à mon encontre, trois en tout, deux impliquaient des plaintes de patients et l’une n’était relié à aucune plainte. C’est cette histoire dont je parle au début du texte où j’avais juste informé un psychiatre par courrier que mes patients suicidaires n’avaient plus envie de se suicider. Trois ans d’interdiction pour un simple courrier qui invitait un médecin psychiatre à réfléchir sur l’ éventuel rapport entre le suicide et les dents dévitalisées, je trouvais là que le Conseil de l’ordre avait fait la preuve flagrante de son manque d’impartialité à mon encontre, vu la peine totalement disproportionnée par rapport à l’éventuelle faute si tant est qu’il y avait là une faute qui était, selon le Conseil de l’ordre, une tentative de tromperie. Et qu’ainsi il aurait été plus facile de comprendre que dans les autres affaires où cette fois ci un patient se plaignait, et où le Conseil de l’ordre m’avait condamné pour le sujet polémique de la toxicité des dents dévitalisées, que là aussi le Conseil de l’ordre pouvait fortement être suspecté de manque d’impartialité à mon égard. Je voulais donc montrer que tout ce qu’il racontait dans son jugement contre moi et que le plaignant utilisait, n’avait en fin de compte pas de valeur. C’est ce que d’ailleurs mon avocate de jadis, Maitre Corinne Lepage, avait elle aussi noté dans son mémoire de défense pour le Conseil de l’Ordre.
Lors de mon procès en correctionnel, en appel à Aix, je fis donc état de ce fait lorsqu’on me laissa m’exprimer. Et voici ce que me répondit la juge, et j’en ris encore à vrai dire. « Quoi, vous dites qu’en enlevant les dents dévitalisées, les gens n’ont plus envie de se suicider comme ça, pouf… et bien moi je trouve qu’en vous condamnant qu’à trois ans d’interdiction d’exercer pour avoir dit ça, ils ont été assez cléments. ».