Un espoir thérapeutique concret, largement éprouvé et avec des bases scientifiques.
En niant le danger de conserver des dents dévitalisées et en se présentant comme des experts du sujet, certains dentistes freinent ainsi la diffusion d’une information qui pourrait aider des millions de personnes malades, rien qu’en France. Il vaudrait mieux qu’ils disent la vérité c’est-à-dire qu’ils n’y connaissent rien au sujet, ce qui est très souvent le cas. En effet, le caractère thérapeutique exceptionnel de l’élimination des dents dévitalisées est confirmé en pratique par les témoignages de nombreux dentistes et de médecins qui se sont intéressés au sujet dans le monde. Ils sont certes plus nombreux en Suisse allemande, en Allemagne et aux Etats-Unis.
Ils affirment avoir traité ainsi des centaines de milliers de patients. Personnellement je n’en ai traité que quelques centaines seulement mais qui aussi m’ont donné ce sentiment. Ces thérapeutes estiment même que l’élimination des dents dévitalisées est une des clefs essentielles et primordiale pour la guérison de nombreuses maladies, certaines graves mais aussi certaines assez anodines en apparence comme le mal de dos, les allergies ou la dépression. Certains médecins ont fait de l’extraction des dents dévitalisées, en collaboration avec des dentistes, l’élément le plus important de leurs traitements depuis de nombreuses années afin de guérir de multiples pathologies dans tous les domaines de la médecine. Un cancérologue allemand, feu le Dr Issels (voir www.issels.com), obtenait environ 37% de guérisons supplémentaires que ses collègues et avait fait de l’extraction des dents dévitalisées, un des éléments incontournables de ses traitements du cancer. Il avait constaté que quasiment tous ses patients cancéreux avaient au moins deux dents dévitalisées par exemple. Coïncidence étonnante de la part d’un médecin qui a soigné des milliers de patients cancéreux. Les extractions des dents dévitalisées semblent aussi avoir permis selon des médecins, d’éviter bien souvent diverses interventions chirurgicales soit disant inéluctables. La majorité de celles prévues par nos chirurgiens selon un médecin de Grasse, le Dr J.G. THOMAS, dans les Alpes Maritimes. Un des rares médecins francophones encore en activité, à s’être aperçu de l’importance du sujet. Pour approfondir voir le texte: “cautionnement médical francophone“. C’est aussi selon lui et face aux pathologies graves, la mesure essentielle de ses traitements médicaux qu’ils soient d’acupuncture, de phytothérapie, d’homéopathie ou d’allopathie. Il a collaboré pendant longtemps avec feu le Dr Davo Koubi, dentiste à Cannes qui avait été un précurseur dans ce domaine dans la profession dentaire en France. Une clinique privée en Suisse allemande, la clinique Paracelsus, de très bonne réputation, qui applique diverses techniques de médecines douces, pense que l’élimination des dents dévitalisées est aussi l’élément essentiel de ses traitements. C’est en tout cas ce que m’a exprimé le médecin directeur de la clinique, le Dr Rau qui a vu environ 20 000 patients depuis une vingtaine d’années. De nombreux dentistes du même canton suisse ont aussi adopté cette politique de soins. Ce qui est étonnant c’est que le canton où se situe cette clinique est aussi le canton de suisse quasiment où les personnes sont le moins malades de toute la Suisse. En France un stomatologue chef d’un service hospitalier parisien, feu le Dr LEPOIVRE, prônait aussi l’extraction systématique de toutes les dents dévitalisées dans les années cinquante et soixante, dans toutes les pathologies médicales pourtant sans lien apparent avec les dents. Mais malgré un ouvrage écrit sur le sujet, son exemple n’a pas été suivi dans le monde hospitalier français. Cela fait quand même beaucoup d’éléments pour conforter l’idée que la dent dévitalisée n’est pas qu’une petite cause de plus dans l’ensemble des causes des maladies et du cancer notamment. On peut très bien imaginer aussi que certaines dents dévitalisées puissent ne pas être toxiques. Encore faudrait-il en apporter la preuve, ce qui n’a jamais été réalisé à ma connaissance et me semble difficile voire impossible à réaliser. Par contre, le contraire a été souvent prouvé puisque si on guérit de choses et d’autres après les avoir extraites, c’est bien qu’elles étaient toxiques. Il existe des arguments très scientifiques pour défendre l’idée d’enlever toutes les dents dévitalisées. Pour approfondir cela voir les 39 pages du texte: “Publications scientifiques“. Un éminent scientifique américain, le professeur Boyd Haley a démontré que certaines dents dévitalisées en apparence parfaitement traitées selon les critères dentaires classiques pouvaient en fait libérer des toxines qui arrivaient à inhiber le fonctionnement d’enzymes fabriquées par le cerveau, notamment les enzymes de types kinases c’est-à-dire celles qui sont chargées de fabriquer de l’énergie. Les enzymes produites par le cerveau deviendraient donc inefficaces au contact des seules toxines émises par les dents dévitalisées. Les enlever toutes par précaution, serait donc assez logique même avant de tomber malade. Ce serait une forme de prévention. Le prof. Boyd Haley n’est pas arrivé à prouver que toutes les dents dévitalisées étaient toxiques mais il semblerait aussi logique selon certaines études qu’avec le temps, les dents dévitalisées deviennent de plus en plus toxiques et donc que des dents dévitalisées pas ou peu toxiques à un certain moment puissent le devenir ultérieurement.
Voici une photo avec à gauche une dent vivante qui a été extraite pour des problèmes de place (une dent de sagesse plus précisément) et ensuite des dents dévitalisées avec les dévitalisées récentes sur la gauche et les plus anciennes sur la droite. Leurs racines sont de plus en plus sombres car de plus en plus imprégnées de toxines, probablement. La dernière dent dévitalisée toute à droite avait en plus un amalgame dentaire (au mercure). Sa racine est donc très noire. Les études du prof. Boyd Haley ont montré que dans ce cas là, les bactéries de la dent dévitalisée transforment le mercure de l’amalgame en di-methyl sulfure mercure très toxique, qui imprègne la racine et se libère lentement dans l’organisme. On voit sur cette photo que les racines des dents dévitalisées ne sont pas aussi blanches que les couronnes en céramique qui les recouvrent souvent ne pourraient le faire croire.
En s’appuyant donc sur des bases scientifiques, certains médecins estiment donc logiquement que toutes les dents dévitalisées sont trop toxiques pour être conservées même si les gens ne sont pas malades. Si cette position est scientifiquement défendable, je peux aussi comprendre qu’elle puisse paraître incompréhensible et extrémiste pour la majorité des patients et des dentistes qui savent bien les services que peut leur apporter la technique de dévitaliser les dents. Il existe aussi des milliers de personnes qui étaient malades et ne regrettent pas non plus d’avoir fait enlever toutes leurs dents dévitalisées en les remplaçant par un dentier car elles savent que c’est grâce principalement à cette démarche qu’elles ont retrouvé la santé. Et la santé, jusqu’à preuve du contraire, c’est ce que nous avons de plus précieux. S’il existe des publications scientifiques convaincantes pour le scientifique sur la toxicité des dents dévitalisées, pour le public, le vécu, exprimé sous forme de témoignages vidéo de patients m’a semblé très précieux aussi, et encore plus que des écrits compliqués. Je vous suggère donc pour vous aider à prendre conscience de l’importante dimension toxique des dents dévitalisées, d’aller voir sur Internet les vidéos de témoignages sur le site www.sante-dents.com. Elles sont pour le moins surprenantes. Elles montrent des témoignages de guérison spectaculaires, d’une centaine de personnes atteints de maladies chroniques graves bien souvent. Il y a peu de thérapeutiques à ma connaissance qui arrivent à obtenir des résultats aussi percutants et même des médecins et des dentistes énergéticiens habitués à enlever les amalgames au mercure, s’en sont étonnés. Il est vrai aussi que certains patients regrettent toutefois d’avoir fait cette démarche et après coup auraient préféré garder leurs dents dévitalisées. Ils sont toutefois une extrême minorité mais ils existent indéniablement, c’est un fait. Certains ont été convaincus que c’était indiscutablement une mutilation et donc une arnaque. Ils peuvent parfois s’en rendre malade prouvant par là même que le mental est plus fort que tout et même que les dents dévitalisées. Pour en avoir une idée voir le texte de 15 pages : “Réponse au diffamateur“. Mais ce qui est sûr est que l’élimination de la dent dévitalisée n’élimine pas totalement le problème due à la dent dévitalisée. Car la dent dévitalisée peut laisser persister un os toxique. Parfois il y a véritablement encore un os infecté, on parle alors d’ostéite. Mais parfois il y a juste un os intoxiqué par des toxines ou des produits chimiques. On parle alors d’ostéose toxique. Parfois il peut persister à l’emplacement de la dent, d’autres mémoires toxiques à cause des cicatrices de gencive. Et alors il s’agit de compléter le travail par d’autres techniques plus subtiles encore. C’est un autre sujet sur lequel je me suis beaucoup penché avec quelques découvertes assez intéressantes. Il existe là aussi des informations pour améliorer la santé, mais elles me paraissent être plus du domaine du professionnel que du grand public, car il s’agit de techniques nécessitant un certain apprentissage pour le dentiste. Il faut parfois injecter certains produits dans l’os, mais au bon endroit… Pour limiter toutefois les problèmes de ces mémoires toxiques, il semble préférable d’éliminer par fraisage lors de l’intervention, la petite couche d’os intoxiqué qui entoure la racine dentaire. On effectue aussi un curetage manuel de l’alvéole et de la lésion osseuse, s’il y en a une. Le suivi post opératoire de l’extraction doit aussi se faire correctement pour que la cicatrisation se fasse correctement, c’est-à-dire que la gencive ne se referme pas sur un os abîmé. Pour cela, en cas d’alvéolite (infection de l’alvéole qui contenait la dent) après l’extraction, il faut soigner localement avec des produits respectueux de l’os (mélange huile essentielle et propolis par exemple). Et cela plutôt que de donner un traitement antibiotique et des antalgiques par voie générale car alors des bouts d’os pourris pourraient persister et eux aussi auraient des répercussions néfastes à distance même s’il n’y a plus de dents dévitalisées. Pour éviter au mieux tous ces inconvénients consulter le texte de 9 pages : “détails pratiques“. Concrètement, les problèmes d’os abîmés pourront souvent se manifester par des cavités déminéralisées des os des mâchoires que les spécialistes du sujet nomment d’ailleurs les cavitations. Des cavitations qui peuvent se diagnostiquer soit à la radio mais plus facilement encore par un appareil particulier d’échographie qui s’appelle le cavitat. Mais parfois il peut juste y avoir une ostéose toxique sans cavité et c’est alors encore plus subtil à diagnostiquer. Très peu de dentistes sont spécialistes du sujet aujourd’hui en France d’autant plus qu’ils ne sont déjà qu’une minorité à s’intéresser aux seuls problèmes des dents dévitalisées. Il est évident aussi qu’il n’est pas toujours suffisant de nettoyer impeccablement la bouche pour guérir de tout ni même de faire tout ce qui est du domaine de la dentisterie holistique. Les organes abîmés ne se régénèrent pas toujours seul, et d’autres médecines sont souvent nécessaires aussi. Les choses ne sont donc pas si simples et on ne peut condamner cette technique parce que certains patients ne guériraient pas complètement après avoir enlevé leurs dents dévitalisées. C’est pourtant ce qui a été déjà fait en France par le Conseil de l’Ordre en me faisant en quelque sorte passer pour une personne un peu fêlée et dangereuse pour les patients, qu’il faudrait donc interdire d’exercer. Alors j’ai essayé de vous donner une autre vision de moi dans le texte de 5 pages : “qui suis-je“. Je ne rentrerai pas trop dans les détails de ce sujet qui n’est pas médical à proprement parler mais ceux qui aiment les histoires de conspirations pour étouffer une idée, pourraient y trouver leur compte, car c’est un sujet qui fâche. Vous allez toutefois en avoir un petit aperçu (voir Toxicité des dents dévitalisées, un sujet qui fâche)